Congé

Pour réduire l’épuisement et le stress au bureau, partir en congé peut s’avérer nécessaire. Vous absenter pendant quelques jours voire des semaines vous donne l’opportunité d’équilibrer votre vie privée et professionnelle.

Peu importe l’entreprise établissement convention, tout salarié a droit congé. Une fois que l’ordre départs correspond à l’agenda de l’équipe, votre supérieur n’hésite pas à approuver votre demande de congé.

 À l’instar de l’arrêt travail maladie professionnelle, vous avez la possibilité de percevoir des indemnités journalières congé. Si le sujet vous parait flou, cet article vous apporte des détails vous aidant à y voir plus clair.

Qu’est-ce qu’un congé dans le cadre du travail ?

Même si vous en avez déjà entendu parler, il importe de récapituler la définition du congé évitant toute confusion. Congé maternité, congé annuel, congé paternité enfant, congés événements familiaux ou congés supplémentaires enfant, tous ces termes ont un point commun.

Ils désignent une période durant laquelle un salarié peut quitter temporairement son métier, quelle que soit la raison. On peut donc cerner le congé comme un ou des jours non travaillés.

Comme évoqué dans le contrat travail, la période prise congés doit être fixée par le salarié et son supérieur.

À l’égal des indemnités journalières versées par la Caisse primaire Assurance maladie, certaines catégories de congés s’accompagnent d’une indemnisation compensatrice. Tel est le cas des congés liés à un arrêt travail maladie et des congés payés.

Pour mieux éclaircir le sujet, il convient d’expliquer les différentes sortes de congés qui sont définis la plupart du temps dans le contrat travail.

Quels sont les différents types de congés qu’un employé peut prendre ?

D’après le code travail articles, le droit congé ouvrables se décline en de nombreuses formes. Chaque formule est soumise à de multiples règles.

Les congés payés en font partie. Peu importe la qualification, la nature de contrat travail, la rémunération ou encore le poste à exercer, tous les salariés ont le droit d’en bénéficier.

Que vous souhaitiez partir en vacances, visiter des proches ou recharger tout simplement vos batteries, la prise congés payés vous autorise à vous absenter du bureau. Pourtant, vous continuez à jouir d’une indemnité compensatrice salariale.

Quant au congé sans solde, il s’agit d’une permission de quitter provisoirement le poste par convenance personnelle. La durée congé requiert cependant le consentement de l’employeur.

Contrairement au congé paternité enfant, aux congés événements familiaux ou aux congés associés à l’arrêt travail maladie professionnelle, le congé sans solde n’est pas dicté par l’ordre public code travail. Par contre, c’est l’entreprise établissement convention collective qui l’encadre et qui en fait mention.

En ce qui concerne les congés maladie, ce privilège est accordé aux employés en cas de maladie justifiable par un certificat médical. Le salarié est invité à présenter ce document à son supérieur sous les 48 heures.

Si la pathologie peut s’avérer assez grave, il a le droit d’allonger la période prise congés allant jusqu’à 5 voire 8 ans.

Pour des raisons familiales, bon nombre de collaborateurs décident aussi de prendre des congés. Comme son nom le suggère si bien, ce classement de congés a spécialement rapport à la vie de famille.

Tous les employés peuvent en jouir, mais le nombre de jours dépend de la situation. Il peut par exemple s’agir d’un mariage, enfant malade, décès et bien d’autres.

Pour le congé maternité, il entraîne une suspension contrat travail. Il est réservé à toute femme enceinte. Concernant le congé paternité enfant, celui-ci s’adresse à tous les pères pour l’arrivée d’un bébé.

À part cela, on distingue les congés de fractionnement, le congé de reclassement, le congé d’ancienneté, le congé sabbatique, le congé proche aidant, le congé pour catastrophe naturelle et bien plus encore.

Comment fonctionne le système de congés payés ?

Que vous soyez en CDD, en intérim ou en CDI, vous avez, tout comme d’autres collaborateurs, droit à vos congés payés. Cet avantage ne tient compte ni votre ancienneté ni la nature de votre contrat travail.

Vous êtes obligé d’en profiter plus particulièrement avant le jour limite de prise congés. Sinon, vous risquez de les perdre.

Tout au long de la période prise congés ordre départs, vous ne devez pas travailler de façon rémunérée dans une autre entreprise. Sinon, votre employeur peut le considérer comme un motif de licenciement.

Dans tous les cas, il n’a pas le droit de vous priver de vos congés payés. En revanche, il peut prolonger la durée congé selon la convention collective.

D’après le code travail et le contrat travail, tout salarié obtient 2,5 jours ouvrables par mois de congés payés. Pour faire le compte, il est important de considérer la période référence. Cette dernière peut être déterminée par l’entreprise établissement convention collective.

Si le salarié tombe malade durant ses congés payés, le dirigeant a l’obligation de payer son indemnité en totalité. Aussi, il y a des indemnités journalières versées par la Caisse primaire Assurance maladie.

Comment demander un congé à son employeur ?

Quand vous comptez solliciter un congé auprès de votre employeur, la première chose à faire est de communiquer clairement avec lui.

Mais avant que vous précipitiez dans son bureau, il demeure nécessaire de vous renseigner sur les démarches en vigueur au sein de la société.

De même, veillez à vous informer de l’ordre de répartition de congés de toute l’équipe. Avant de proposer une date à votre supérieur, vous devez d’abord être au courant du reste de nombre de jours de vos congé payés.

Cela fait, l’étape suivante consiste à rédiger une lettre de demande de congés adressée à votre responsable. Il est primordial de lui présenter un objet à la fois précis et direct. Tâchez d’y indiquer la date à laquelle vous prévoyez de partir.

Et même dans le corps de la lettre, restez très clair sur la durée de votre départ ainsi que sur le moment de votre arrivée. Il est indispensable pour l’équipe, de savoir le jour où vous envisagez de reprendre le service.

Bien qu’il ne soit pas exigé, il est toujours utile d’expliquer les motifs de votre absence. Faites en sorte que votre superviseur comprenne votre décision.

Comparativement à un projet de vacances, il est justifiable de demander des congés salarié à cause d’une maladie. Avec beaucoup de chances, vous parvenez à le convaincre d’approuver votre requête.

Dernier conseil et non des moindres, il est crucial de bien terminer toutes vos tâches avant de partir. L’équipe ne sera pas ainsi débordée de travail. La passation doit être réalisée en bonne et due forme. Dans ce cas de figure, votre superviseur ne voit aucun inconvénient de votre départ.

Quels sont les droits des travailleurs en matière de congés ?

Chaque année, les employés ont droit aux congés payés qui relèvent de la responsabilité de l’employeur. Ce privilège est accessible à tout salarié, peu importe la catégorie, l’horaire de travail, le poste et l’ancienneté.

Et même si vous travaillez à temps partiel, votre droit congé ouvrables reste le même à ceux qui s’activent à temps complet.

Sachez toutefois que vous avez l’obligation de prendre vos congés tous les ans. Ils ne doivent pas être remplacés par une quelconque indemnité compensatrice sauf pour les travailleurs intérimaires et en CDD ou contrat travail à durée déterminée.

À l’opposé du congé sans solde, les congés payés sont indemnisés. L’employé peut s’absenter de son travail, mais il a toujours droit à une indemnité tout au long de ses jours de congé.

Avec le salaire, celle-ci sera versée à la date régulière de paiement. En conséquence, le travailleur ne subit aucune perte de revenus.

Pour établir la somme de l’indemnité congés, bon nombre d’éléments entrent en compte par exemple le salaire de base, la prime d’ancienneté, les commissions, la prime d’assiduité et certaines majorations. Ce sont plutôt les ressources humaines qui s’en occupent.

Quant à la prise congés ordre départs, le travailleur n’a pas le droit de fixer les dates. Le superviseur s’en charge, mais il tient compte bien entendu de ses choix. Il considère aussi les avis des autres employés avant d’accepter ou de refuser sa proposition des jours de congé.

Quelles sont les conditions pour bénéficier d’un congé sabbatique ou d’un congé parental ?

Avant de répondre à cette question, il importe de définir ce qu’on entend par congé sabbatique et congé parental.

Comme nous avons mentionné ci-dessus, il existe plusieurs sortes de congés salarié. Les collaborateurs ont aussi droit congé sabbatique. Cependant, il est uniquement réservé à une catégorie de salariés.

Il figure parmi les congés sans solde ou non rémunérés. Peu importe les motifs, il donne l’occasion à l’employé de quitter la société durant une période prolongée, mais sans qu’il démissionne. À son retour, il peut récupérer sans problème son poste.

Pour pouvoir en profiter, vous devez d’abord en CDI. Vous disposez d’une ancienneté de 3 ans dans la boîte. Vous n’avez pas auparavant joui d’un congé sabbatique, congé de transition professionnelle ou congé de création d’entreprise.

Quant au congé parental, il s’adresse aux salariés souhaitant s’absenter partiellement ou entièrement de leur emploi au cours de l’adoption ou de la naissance d’un enfant. Le principal motif est de l’élever.

Certaines personnes le confondent avec le congé paternité enfant et le congé maternité. Toutefois, ces congés salarié ont chacun leurs spécificités. Si le congé parental a pour but d’élever le petit, les autres servent à l’accueillir dans la famille.

Il existe deux types de congé parental dont le congé parental partiel et celui total. Si vous avez envie de prendre le deuxième, sachez que celui-ci occasionne une suspension contrat travail.

Dans le cas où vous désirez profiter d’un congé parental, vous devez obtenir plus d’un an d’ancienneté dans l’entreprise. La durée congé est généralement d’une année, mais vous pouvez la renouveler deux fois, sous certaines conditions.

Quel est l’impact d’un long congé sur la carrière d’un employé ?

Que vous partiez en congé parental, sabbatique, ou de fin de carrière, sachez que la période prise congés prolongée a un impact sur votre carrière.

Premièrement, vous ne pouvez pas bénéficier des formations proposées par l’entreprise puisque vous vous absentez du bureau. Cela affecte en conséquence votre perspective d’évolution.

Lorsqu’il y a des changements au sein de la société, vous serez le dernier informé d’autant plus que vous perdez contact avec vos collègues de travail.

Et l’inconvénient majeur réside dans votre situation financière. En règle générale, un long congé est souvent un congé sans solde. Il n’y a donc aucune rémunération possible. En plus, cet absentéisme engendre une perte de cumul retraite, d’ancienneté et de congés payés.

Quoi qu’il en soit, on peut retenir quelques avantages intéressants. Dès le retour du salarié, il devient plus productif. On aperçoit à travers son travail son épanouissement personnel.

Lorsque son employeur lui accorde un long congé, cela renforce un lien de fidélité et de confiance entre eux. Le risque de surmenage est grandement limité.

Dans quels cas un employeur peut-il refuser une demande de congé ?

Puisqu’il détient l’autorité, l’employeur ou le responsable est en droit de refuser votre demande de congé. Cependant, son motif doit être à la fois objectif et réel.

Dans la plupart des cas, il n’approuve pas votre requête lorsque l’activité de la société se multiplie. Cela exige la présence de tous les salariés maximisant la productivité. L’employeur leur propose ainsi un report des congés.

Il refuse aussi parfois les congés événements familiaux afin de garantir la continuité du travail. Certaines branches ne permettent pas d’interrompre ou de réduire l’activité.

Outre cela, nombreuses sont les circonstances exceptionnelles empêchant le supérieur d’accepter votre congé. Les difficultés économiques en font partie. Dans cette situation, il est fréquent d’obtenir un refus de la part du responsable.

Quoi qu’il en soit, l’annulation ne doit pas être abusive. Bien qu’il possède l’autorité, le superviseur a l’obligation d’apporter une justification valable à l’employé. Ce dernier peut prendre ses congés à un autre jour.

Il y a certains moments où le supérieur ne doit pas opposer les congés ordre départs des salariés. C’est le cas d’un décès, une naissance, un mariage et bien plus encore.

Qu’est-ce qu’un congé pour raison personnelle et dans quelles circonstances peut-on le demander ?


Ce dispositif permet à l’employé de s’absenter de son travail à cause des événements familiaux par exemple un cas tragique d’un proche, un décès, un mariage ou une naissance.

Comment les jours de congé sont-ils calculés ?


Par mois, un collaborateur possède 2,5 jours ouvrables de son congé payé chez une même entreprise. Si cette dernière compte en jours ouvrés, cela correspond à 2,08 jours par mois.